Publié le Lundi 1 septembre 2014 à 10:00:00 par Cedric Gasperini

 

Twitch : Sous la pression de la communauté, le Grand Journal présente ses excuses

Twitch m'a tuer

Nous vous racontions hier la fameuse "Affaire du Grand Journal" qui secoue actuellement la Toile : La chroniqueuse Mathilde Serrell, présentant les "tendances" du moment, a cité Twitch, dont elle s'est gentiment moquée (si, si, gentiment quand même).

Une chronique légère, mal préparée, avec quelques erreurs et imprécisions et, surtout, dénotant d'une méconnaissance flagrant du sujet. Pas de quoi non plus fouetter un chat, notez bien, ou alors juste pour le plaisir mais dans ces cas-là, pensez à rajouter des clous au bout des lanières. 

Enfin bref. Toujours prompte à réagir au quart de tour, la communauté s'est enflamée et y est allée de son flot d'insultes. Certains confrères sont d'ailleurs tombés dans cette facilité. Pensez bien... Canal +, Le Grand Journal présenté par Antoine De Caunes, symbole d'une génération de déconneurs libres et sans carcan qui se moque d'un phénomène du jeu vidéo... De nombreux joueurs se sont sentis personnellement attaqués et ont été blessés par ce qu'ils ont vécu comme une "trahison".

Ni une ni deux, une pétition a été créée pour "réclamer" des excuses à Canal Plus. Pétition qui, à ce jour, a récolté plus de 68 000 signatures.

De son côté, Antoine de Caunes a personnellement présenté des excuses via Twitter et promis de revenir sur le sujet dès ce soir dans son émission. Preuve malgré tout qu'il a toujours une ouverture d'esprit que beaucoup, à la télévision, n'ont pas. En attendant, donc, de voir ce qu'il en fera ce soir.

Mais bon. Hein. A bien y réfléchir, les gars... c'est vrai que regarder des vidéos de gens jouant aux jeux vidéo... c'est quand même un gros passe-temps à la con, non ? Surtout que le niveau, en général et à de rares exceptions près, ne vole quand même pas haut... Mais d'un autre côté, si vous vous en contentez...*

 

* Moi aussi, j'aime recevoir des lettres d'insultes. J'en ai eu un petit lot hier, pas de raison pour s'arrêter en si bon chemin, nan ?