Driver San Francisco (multijoueurs)

 

Publié le Jeudi 21 juillet 2011 à 15:00:00 par Cedric Gasperini

 

preview Driver San Francisco (multijoueurs)

Du tout bon !

imageDepuis sa première sortie sur PlayStation en 1998 sous la houlette de feu GT Interactive, Driver a connu des hauts et des bas au rythme des suites qui ont, malgré tout, inscrit la série comme phare dans le paysage vidéoludique.
Alors que Driver San Fransisco est prévu pour le 1er septembre prochain chez UbiSoft, nous avons pu tester différents modes multijoueurs.
 
En premier lieu, il faut savoir que 19 modes de jeux, pas un de moins, sont prévus pour le multi de Driver San Fransisco. Sur ces 19 modes, 11 sont destinés au jeu en ligne jusqu’à 8 personnes, et 8 sont destinés au jeu sur le même écran, à deux en écran splitté.
Sur ces huit modes en local, cinq sont en « versus » et trois en coop. Autrement dit, vous jouerez l’un contre l’autre sur cinq modes, et l’un avec l’autre sur trois autres.

Sur tous ces modes, nous avons pu en tester cinq. C’est déjà pas mal. D’autant plus que, finalement, étant globalement tous réussis, ils offrent une dimension supplémentaire assez énorme au jeu…
 
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screenLe premier mode est le mode « Trailblazer » (pistage) qui demande de rester dans le sillage d’une voiture de tête pilotée par l’IA. Bien entendu, le « Shift » est primordial pour y arriver.
Le Shift, c’est la grosse nouveauté de ce Driver. Il vous permet, d’une simple pression de la gâchette du paddle, de changer de voiture en vous propulsant dans une autre. Un peu comme si vous n’étiez qu’une entité fantomatique qui prend possession des corps, une sorte d’Agent Smith dans Matrix. Ce Shift est foutrement bien fait et permet très simplement et facilement, en cas d’accident, de ne pas être distancé et de se replacer correctement dans la course. Attention à être le premier à prendre le contrôle de la bonne voiture et, surtout, de la choisir correctement placée…
C’est fun, ultra-rythmé, et les courses sont une bataille de tous les instants. A coup sûr le mode « phare » de ce multijoueur.
 
screenLes autres modes testés sont la Capture du drapeau, à récupérer un symbole en roulant dessus, et à devoir le ramener dans son camp. Un conseil : prenez le contrôle d’un camion pour faire le ménage…
Le mode Chasse au trophée était sympathique également, dans lequel on doit récupérer un trophée et le conserver le plus longtemps possible sans se faire cartonner par les autres véhicules.
Le mode Elimination, lui, définit un bandit qui doit passer par des points de contrôle avant de se faire détruire par les 7 autres joueurs, changés en policiers.
Enfin, le mode Sprint-GT qui est une succession de petites courses très rapides (30 secondes) à passer dans des checkpoints. Le premier marque un certain nombre de points, le second un peu moins, le troisième encore un peu moins… pour finalement, la course suivante, inverser les positions : celui qui a terminé premier commence dernier… et au terme de huit courses, avoir un classement général.
 
Notez que vous gagnerez de l’expérience au fur et à mesure des parties, pour monter de niveau (30 maximum) et gagner quelques petits bonus supplémentaires (non dévoilés à ce jour).
 
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screenOn pourra enfin conclure par le fait que 128 véhicules sous licence seront présents dans le jeu. D’Alpha Roméo à Volkswagen en passant par Ford, Pontiac, Lamborghini, Jaguar, Audi, Chevrolet et j’en passe, les modèles pleuvent et sont tous plus alléchants les uns que les autres. Même des bus ou camions sont disponibles…
L’impression de vitesse est tout bonnement excellente. Les dégâts sont visibles mais n’influent pas sur la conduite (juste la vitesse) jusqu’à l’arrêt pour cause de destruction.
Et des cartons, vous en prendrez un paquet tant le trafic est dense.
Notez, enfin, que la vitesse, la puissance et la capacité à réaliser des drifts sont différents selon les modèles.
 
Jouabilité exemplaire, graphisme fort sympathiques… au final, grâce à un multi solide, ultra-varié et très complet, Driver San Francisco se pare d’un atout énorme. Si le jeu solo est aussi réussi, le jeu pourrait directement se présenter comme un « must-have » de cette rentrée 2011 et UbiSoft taper un gros coup. Plus que quelques semaines à patienter pour le savoir.

 

 
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