15% des divorces sont dus au jeu vidéo

Ecrit par Raging le 05/06/2011 à 15:11

 

23

Inscrit le 27/04/2009

Voir le profil

Bah la mienne, je la convertie au fur et a mesure. Elle jouait un peu à la wii, elle adore mario kart et Zelda (comme beaucoup de nanas d'ailleurs) puis je lui ai fait découvrir rayman, et de jeux mignons elle en vient à vouloir se faire gow III et Darksiders...



Pour revenir au sujet, les nanas c'est comme le reste, il faut apprendre à les contenter sans trop en donner d'un coup, les laisser être libre sans qu'elles s'imaginent que vous vous en foutiez, bref, c'est comme un jeu.

Ecrit par Abaker le 05/06/2011 à 16:30

 

24

Inscrit le 05/11/2009

Voir le profil

Ecrit par Raging



Pour revenir au sujet, les nanas c'est comme le reste, il faut apprendre à les contenter sans trop en donner d'un coup, les laisser être libre sans qu'elles s'imaginent que vous vous en foutiez, bref, c'est comme un jeu.

C'est beau.



Tu vas pouvoir monter un nouveau dogme et augmenter le nombre de gamers en couple.

Ecrit par Yutani le 05/06/2011 à 16:33

 

25

Inscrit le 27/04/2009

Voir le profil

Ecrit par Raging

Bah la mienne, je la convertie au fur et a mesure. Elle jouait un peu à la wii, elle adore mario kart et Zelda (comme beaucoup de nanas d'ailleurs) puis je lui ai fait découvrir rayman, et de jeux mignons elle en vient à vouloir se faire gow III et Darksiders...



Pour revenir au sujet, les nanas c'est comme le reste, il faut apprendre à les contenter sans trop en donner d'un coup, les laisser être libre sans qu'elles s'imaginent que vous vous en foutiez, bref, c'est comme un jeu.

Game Over, Insert Coin ?

Ecrit par kasasensei le 05/06/2011 à 16:36

 

26

Inscrit le 05/12/2010

Voir le profil

Ecrit par Yutani





Game Over, Insert Coin ?

Même sans gameover faut en insérer des trucs.

Ecrit par Raging le 05/06/2011 à 16:39

 

27

Inscrit le 27/04/2009

Voir le profil

Ecrit par dieudivin le 05/06/2011 à 16:44

 

28

Inscrit le 18/03/2011

Voir le profil

Le soucis c'est que les mecs n'ont pas de continue infini, alors on peut pas insérer des 'coins' à volonté.

Après c'est sûr qu'on peut s'aider d'accessoire genre PSmove en cas de besoin

Ecrit par Yutani le 05/06/2011 à 16:49

 

29

Inscrit le 27/04/2009

Voir le profil

Ecrit par kasasensei

Même sans gameover faut en insérer des trucs.

j'aurais mieux fait de me relire avant de poster

Ecrit par Antiope le 05/06/2011 à 18:10

 

30

Inscrit le 22/05/2009

Voir le profil

Hum...



Que faut-il voir dans une telle "étude" ?



Déjà, ces femmes en question devraient se demander une petite chose : pourquoi leur maris préfèrent perdre leur temps à hanter les lieux imaginaires que leur offrent les jeux vidéos plutôt que de passer du temps avec la fade réalité qu'elles devaient sans doute représenter à leur yeux ?



En observant les quelques couples qui se sont formés autour de moi durant ces vingt cinq dernières années, la plupart se sont construits sur des apparences, sur ce que chacun des deux protagonistes s’évertuait à être pour plaire à l'autre, ou pire, pour correspondre à ce que l'autre voulait trouver. Comme si nous étions devenus une grande marque que nous devions impérativement défendre à travers une publicité mensongère (sans doute un des effets pervers de la société de consommation où tout doit impérativement être beau et parfait qui nous oppresse continuellement). Quand un couple se construit sur de telles bases erronées, il arrive un moment ou le silence remplace ce que les gens sont réellement au fond d'eux mêmes, sachant sans doute qu'au fond, ils ne correspondent pas à ce que l'autre voulait trouver chez son compagnon. Quand une telle constatation arrive, souvent, la personne préfère taire cette partie d'eux même et se concentre de façon plus prononcé sur autre chose : Loisir, Tuning, pêche, vélo, jeux-vidéo relation extra-conjugales etc... Souvent dans un domaine qui le rapproche de son enfance ou son adolescence et dans lequel il se sentait bien. Dans le fond, il me semble que leur volonté est de fuir, fuir leur vie, fuir le mensonge dans lequel ils se sont petit à petit laissés enfermer, fuir l'autre. Le drame dans l'affaire, est lorsque d'autres vies sont en jeu : des enfants.



Alors, ces nombreux couples que s'étaient formés autour de moi ont commencé petit à petit à se déformer (pas tous, fort heureusement), allant du déchirement progressif à la rupture consentie (si toutefois nous pouvons parler d'un consentement mutuel lorsqu'il y a plus que deux vies qui sont en jeu et qui deviennent des dommages collatéraux). Toutes les excuses étaient bonnes pour que chacun diminue sa responsabilité en augmentant celle de l'autre. Le jeux-vidéo est une de ces pathétiques excuse. Un homme ou une femme sont des personnes complètes, avec des bons et des mauvais côtés (le bon et le mauvais étant à l’appréciation de chacun), avec des qualités et des défauts. Dans les premiers temps, chacun essaye de camoufler ses défauts (oui, aimer les jeux-vidéo peut encore paraitre comme un défaut dans une société ou il faut exceller socialement pour être considérée comme une personne), se montrant sous son meilleur profil, vêtu de ses plus beaux atouts. Le soucis avec les atouts, c'est qu'ils ne correspondent qu'à vingt cinq pour cent de l'ensemble du jeu et que malheureusement, un être humain est également composé des soixante quinze pour cent qui reste.



La vrai question que chacun devrait se poser lorsqu'une relation devient sérieuse est : est-ce que je suis capable d'aimer les soixante quinze pour cent qui reste encore caché ? Et surtout, est-ce que je serai capable d'exister avec les soixante quinze pour cent de l'autre qui ne m'appartiendront jamais ?



Je pense que si une personne n'est pas prête à vivre avec une personne qui a 25% de "bon" et 75% de "mauvais" (75%), elle n'est tout simplement pas fait pour vivre en couple, car chaque humain est composé de cette manière à travers les yeux d'un autre être humain, et ce, quelque soit le degré d'intimité.



Ayant passé plus de vingt cinq ans avec mon compagnon actuel, je pense que je peux affirmer que nous ne tombons pas amoureux d'une personne, mais plutôt que nous apprenons à l'aimer un peu plus chaque jour qui passe, au fur et à mesure que nous le découvrons, que nous le voyons se transformer, que nous le voyons vieillir.



La vie en couple n'est pas une appropriation de la vie de l'autre, mais bel et bien le partage de la vie d'un autre. J'ai l'impression que dans la définition du couple aujourd'hui, c'est plus le sentiment d’appropriation qui domine plutôt que celui du partage. C'est évidement voué à l'échec (ou à une intolérable frustration d'un des deux).



Ces femmes qui ont divorcé de leur maris "volages" (jeux-vidéos, maitresses, ma foi, ce n'est pas si éloigné vu que le but profond étant la fuite du quotidien) ne l'ont pas fait à cause de l'enfermement de leur maris, mais bel et bien parce qu'elles ont tout simplement été incapable, à un moment donné, d'accepter chez l'autre ce qu'elles considéraient comme "négatif" (la réciproque est naturellement vrai pour l'homme qui est incapable d'accepter ce qu'il considère comme inacceptable chez sa femme). Leur faute est tout aussi grande que la raison qu'elles invoquent.



(C'est bon, vous pouvez aller prendre une aspirine )

Ecrit par Yutani le 05/06/2011 à 18:58

 

31

Inscrit le 27/04/2009

Voir le profil

Ecrit par Antiope

Hum...



Que faut-il voir dans une telle "étude" ?



Déjà, ces femmes en question devraient se demander une petite chose : pourquoi leur maris préfèrent perdre leur temps à hanter les lieux imaginaires que leur offrent les jeux vidéos plutôt que de passer du temps avec la fade réalité qu'elles devaient sans doute représenter à leur yeux ?



En observant les quelques couples qui se sont formés autour de moi durant ces vingt cinq dernières années, la plupart se sont construits sur des apparences, sur ce que chacun des deux protagonistes s’évertuait à être pour plaire à l'autre, ou pire, pour correspondre à ce que l'autre voulait trouver. Comme si nous étions devenus une grande marque que nous devions impérativement défendre à travers une publicité mensongère (sans doute un des effets pervers de la société de consommation où tout doit impérativement être beau et parfait qui nous oppresse continuellement). Quand un couple se construit sur de telles bases erronées, il arrive un moment ou le silence remplace ce que les gens sont réellement au fond d'eux mêmes, sachant sans doute qu'au fond, ils ne correspondent pas à ce que l'autre voulait trouver chez son compagnon. Quand une telle constatation arrive, souvent, la personne préfère taire cette partie d'eux même et se concentre de façon plus prononcé sur autre chose : Loisir, Tuning, pêche, vélo, jeux-vidéo relation extra-conjugales etc... Souvent dans un domaine qui le rapproche de son enfance ou son adolescence et dans lequel il se sentait bien. Dans le fond, il me semble que leur volonté est de fuir, fuir leur vie, fuir le mensonge dans lequel ils se sont petit à petit laissés enfermer, fuir l'autre. Le drame dans l'affaire, est lorsque d'autres vies sont en jeu : des enfants.



Alors, ces nombreux couples que s'étaient formés autour de moi ont commencé petit à petit à se déformer (pas tous, fort heureusement), allant du déchirement progressif à la rupture consentie (si toutefois nous pouvons parler d'un consentement mutuel lorsqu'il y a plus que deux vies qui sont en jeu et qui deviennent des dommages collatéraux). Toutes les excuses étaient bonnes pour que chacun diminue sa responsabilité en augmentant celle de l'autre. Le jeux-vidéo est une de ces pathétiques excuse. Un homme ou une femme sont des personnes complètes, avec des bons et des mauvais côtés (le bon et le mauvais étant à l’appréciation de chacun), avec des qualités et des défauts. Dans les premiers temps, chacun essaye de camoufler ses défauts (oui, aimer les jeux-vidéo peut encore paraitre comme un défaut dans une société ou il faut exceller socialement pour être considérée comme une personne), se montrant sous son meilleur profil, vêtu de ses plus beaux atouts. Le soucis avec les atouts, c'est qu'ils ne correspondent qu'à vingt cinq pour cent de l'ensemble du jeu et que malheureusement, un être humain est également composé des soixante quinze pour cent qui reste.



La vrai question que chacun devrait se poser lorsqu'une relation devient sérieuse est : est-ce que je suis capable d'aimer les soixante quinze pour cent qui reste encore caché ? Et surtout, est-ce que je serai capable d'exister avec les soixante quinze pour cent de l'autre qui ne m'appartiendront jamais ?



Je pense que si une personne n'est pas prête à vivre avec une personne qui a 25% de "bon" et 75% de "mauvais" (75%), elle n'est tout simplement pas fait pour vivre en couple, car chaque humain est composé de cette manière à travers les yeux d'un autre être humain, et ce, quelque soit le degré d'intimité.



Ayant passé plus de vingt cinq ans avec mon compagnon actuel, je pense que je peux affirmer que nous ne tombons pas amoureux d'une personne, mais plutôt que nous apprenons à l'aimer un peu plus chaque jour qui passe, au fur et à mesure que nous le découvrons, que nous le voyons se transformer, que nous le voyons vieillir.



La vie en couple n'est pas une appropriation de la vie de l'autre, mais bel et bien le partage de la vie d'un autre. J'ai l'impression que dans la définition du couple aujourd'hui, c'est plus le sentiment d’appropriation qui domine plutôt que celui du partage. C'est évidement voué à l'échec (ou à une intolérable frustration d'un des deux).



Ces femmes qui ont divorcé de leur maris "volages" (jeux-vidéos, maitresses, ma foi, ce n'est pas si éloigné vu que le but profond étant la fuite du quotidien) ne l'ont pas fait à cause de l'enfermement de leur maris, mais bel et bien parce qu'elles ont tout simplement été incapable, à un moment donné, d'accepter chez l'autre ce qu'elles considéraient comme "négatif" (la réciproque est naturellement vrai pour l'homme qui est incapable d'accepter ce qu'il considère comme inacceptable chez sa femme). Leur faute est tout aussi grande que la raison qu'elles invoquent.



(C'est bon, vous pouvez aller prendre une aspirine )

pourvu que ta fille ai la même sagesse que toi

Ecrit par iactus le 05/06/2011 à 19:23

 

32

Inscrit le 05/11/2009

Voir le profil

le meilleur pad

c'est ma bi**



chérie c'est l'heure de la partie



ANTI je suis bien d'accord avec toi

Ecrit par Alastor78 le 05/06/2011 à 19:45

 

33

Inscrit le 06/09/2010

Voir le profil

Oui enfin bon autant les discours de la télé qui veulent nous faire croire que les jeux vidéo c'est le mal c'est ridicule, autant je pense qu'il faut être un peu rationnel et admettre que le jeu vidéo n'est pas l'activité la plus socialisante qui soit. Donc une telle étude n'a rien d'incroyable non plus.

Ecrit par Antiope le 05/06/2011 à 20:12

 

34

Inscrit le 22/05/2009

Voir le profil

Ecrit par Alastor78

Oui enfin bon autant les discours de la télé qui veulent nous faire croire que les jeux vidéo c'est le mal c'est ridicule, autant je pense qu'il faut être un peu rationnel et admettre que le jeu vidéo n'est pas l'activité la plus socialisante qui soit. Donc une telle étude n'a rien d'incroyable non plus.

Parlons donc d'autres activités moins montrées du doigt et qui pourtant, commencent à agacer quelques femmes de mon entourage :



Entrainement course à pied, vélo :

Les entrainements se déroulement souvent seuls, bref, malgré que ce soit une activité très recommandable, on ne peut pas dire que ce soit très "socialisante".



Mécanique ou autre travaux dit d'intérieur :

Souvent réalisé seul, en adéquation avec les taches "prédéfinies" par chacun dans le couple. Pas vraiment une activité très "socialisante" non plus.



Lecture, Ecriture, regarder une série à la télé pendant que le conjoint regarde un film sur une autre télé :

Encore une fois, activités souvent réalisées seuls et donc, pas très "socialisante" non plus.



Nous pouvons continuer longtemps comme ça...



Dans l'absolu, chaque individu, même si il vit en couple, à besoin de se retrouver seul, de "respirer", de prendre l'air, de s'évader. Peut importe la source de l'activité choisie, le but final est toujours le même.



Je continue de dire que ce sondage montrant du doigt le jeu-vidéo est d'une stupidité sans nom, la source du problème n'a rien à voir avec le média utilisé.



Pour finir, quand je vois les rassemblements de jeunes ou moins jeunes qui arrivent à s'amuser en groupe en utilisant le média "jeu-vidéo", quans je vois les activités qu'ils arrivent à se créer en s'inspirant des jeux-vidéos (cosplay entre autre), je ne crois pas que l'on puisse affirmer que le jeu-vidéo est réellement un média insociable. En tout cas pas plus qu'un autre. L’insociabilité d'une personne qui s'enferme dans un loisir à une source beaucoup plus grave que le loisir en lui même qui n'est qu'une conséquence d'un mal plus profond.

Ecrit par dieudivin le 05/06/2011 à 21:10

 

36

Inscrit le 18/03/2011

Voir le profil

Ecrit par Ryuuku

Ben pourtant tu es là à discuter sur ce site et probablement d'autres. Certes, c'est pas la même "socialisation" que de voir quelqu'un face à face, mais honnêtement de nos jours, j'ai plus l'impression que les gens s'ignorent dans la rue que dans un jeu bizarrement.



Je me plante peut-être...

Non, c'est même le paradoxe de notre époque.

Plus les moyens de communication évoluent et plus l'isolement des personnes s'accentue.

Ecrit par Yutani le 05/06/2011 à 22:02

 

37

Inscrit le 27/04/2009

Voir le profil

Ecrit par Antiope



Parlons donc d'autres activités moins montrées du doigt et qui pourtant, commencent à agacer quelques femmes de mon entourage :



Entrainement course à pied, vélo :

Les entrainements se déroulement souvent seuls, bref, malgré que ce soit une activité très recommandable, on ne peut pas dire que ce soit très "socialisante".



Mécanique ou autre travaux dit d'intérieur :

Souvent réalisé seul, en adéquation avec les taches "prédéfinies" par chacun dans le couple. Pas vraiment une activité très "socialisante" non plus.



Lecture, Ecriture, regarder une série à la télé pendant que le conjoint regarde un film sur une autre télé :

Encore une fois, activités souvent réalisées seuls et donc, pas très "socialisante" non plus.



Nous pouvons continuer longtemps comme ça...



Dans l'absolu, chaque individu, même si il vit en couple, à besoin de se retrouver seul, de "respirer", de prendre l'air, de s'évader. Peut importe la source de l'activité choisie, le but final est toujours le même.



Je continue de dire que ce sondage montrant du doigt le jeu-vidéo est d'une stupidité sans nom, la source du problème n'a rien à voir avec le média utilisé.



Pour finir, quand je vois les rassemblements de jeunes ou moins jeunes qui arrivent à s'amuser en groupe en utilisant le média "jeu-vidéo", quans je vois les activités qu'ils arrivent à se créer en s'inspirant des jeux-vidéos (cosplay entre autre), je ne crois pas que l'on puisse affirmer que le jeu-vidéo est réellement un média insociable. En tout cas pas plus qu'un autre. L’insociabilité d'une personne qui s'enferme dans un loisir à une source beaucoup plus grave que le loisir en lui même qui n'est qu'une conséquence d'un mal plus profond.

plus ça vient et plus j'adore ta façon de voir les choses

Ecrit par Duo le 06/06/2011 à 09:55

 

38

Inscrit le 08/06/2009

Voir le profil

Faut juste trouver la geekette qui nous va bien smiley 31

Je l'ai trouvé et je me suis même marié avec. Petit HS au passage, l'illustration de la news se trouvait également sur notre pièce montée.



Bref, j'ai eu plutôt de la chance car au moment ou je l'ai rencontré elle n'était pas trop JV. Puis après quelques temps elle s'est mise un peu au MMO, elle a commencé a me battre sur Soul Calibur et elle a poursuivit, cette fois seule, sur les Sim's. Maintenant ça représente un peu une composante de notre couple, et même si mon temps de jeu est toujours supérieur au sien, j'ai parfois droit a quelques réflexions, mais qui ne vont jamais jusqu'à la dispute.