Publié le Vendredi 6 novembre 2015 à 08:00:00 par Cedric Gasperini
Test de Call of Duty Black Ops 3 (PC, Xbox One, PS4)
Une vraie tuerie (dans tous les sens du terme) !
On aime ou pas le genre, le style, l’ambiance, la méthode, mais peu importe. Le petit Call of Duty de fin d’année, c’est un peu le jeu pop-corn que l’on attend tous – ou presque. Qu’importe le fond, qu’importe même la forme, puisqu’on connait déjà la recette : on veut simplement en prendre plein la gueule, être ravagé du début à la fin du jeu, être plongé dans un gigantesque massacre où les balles sont plus nombreuses que les gouttes de pluie un jour d’intense tempête. Un tsunami d’action, un ouragan de violence, un cyclone de guerre, une tornade de combats hyper vitaminés.Bref. Call of Duty, c’est un pur défouloir dont on n’attend juste qu’il soit plus intense que le dernier, moins que le prochain. Reste juste à savoir si les développeurs ont cette fois réussi à se dépasser. D’autant plus que, grâce à une excellente campagne solo et un gameplay renouvelé, l’opus de l’année dernière, Call of Duty Advanced Warfare, avait mis la barre très haute.
Soyons clairs : quand Call of Duty Black Ops 3 a été, sans surprise, annoncé, et qu’il a été dévoilé comme se déroulant dans le futur; les similitudes avec l’ambiance Advanced Warfare, l’épisode de l’année dernière, ont douché mes attentes. Du coup, je me suis plongé dans ce Black Ops 3 un peu à reculons. Tout aussi qualitatif fut l’expérience 2014, j’espérais un brin plus de nouveauté pour l’édition 2015.
Autant vous dire que la claque n’en fut que plus forte.
Important : Nous avons testé le jeu à plusieurs médias, pendant plusieurs jours. J’étais dans les sessions avec Jeux Actu et Millenium. Nous avons joué ensemble, partagé nos impressions, échangé nos points de vue, et ce test est donc la somme de ces connaissances, mais avec mon point de vue. Cela m’a surtout permis de pouvoir noter les petites différences d’impressions et d’appréciations selon les générations, les goûts et les choix.
Vous êtes un membre d’une unité d’élite, envoyée récupérer le premier ministre égyptien. Homme ou femme, peu importe. A vous de décider. Vous avez le choix entre plusieurs modèles de personnages. Personnellement, j’ai choisi une femme. Mes confrères ont opté pour des hommes. Au final, j’avoue que les rapports entre les personnages sont plus ambigus et certaines scènes plus fortes si vous choisissez de jouer une femme. C’est un avis personnel, certes, mais ça vaut le coup de s’y essayer.
Call of Duty Black Ops 3 vous plonge dans un scénario moins décousu que d’habitude : une histoire assez simple au demeurant, que vous allez suivre du début à la fin : le monde est en proie à des attaques terroristes. Des villes entières sont ravagées et entre exterminations de masse et insurrections du peuple, les gouvernements sont totalement dépassés. Le ton est donné dès le début : vous assistez, via les écrans de contrôle, à diverses scènes de torture de la part des geôliers.
L’un dans l’autre, au début, l’extraction ne se déroule pas si mal que ça. Vous dézinguez quelques soldats ennemis, exfiltrez votre cible et son général, et quand la situation se corse un peu, une unité cybernétique vient vous prêter main forte. Ce sont des soldats meurtris par la guerre à qui l’on a remplacé les membres par des prothèses technologiquement avancées. Ils sont équipés d’un système neuronal, le DNI, pour Direct Neural Interface. Il leur permet de communiquer entre eux, à l’extérieur (recevoir les ordres et informations du QG), mais leur offre aussi quelques autres avantages : force surhumaine et pouvoirs spéciaux.
Ce premier niveau, tout aussi introductif soit-il, vous plonge dans le bain de fort belle manière : il présente simplement et rapidement la situation, les forces en présence, et vous plonge dans un déferlement de violence et d’explosions. Le ton est donné : ça va péter bel et bien de partout. Des robots militaires font même leur apparition, histoire de pimenter les combats.
Et cette première mission se termine de façon abominable, avec le démembrement pur et simple, un bras après l’autre, une jambe, et la moitié de la tête, de votre personnage par l’un des robots ennemis…
Vous l’avez compris, vous allez à votre tour être transformé en unité cybernétique.
La seconde mission, très longue, vous lance dans une sorte de tutoriel destiné à vous apprendre les rudiments de votre nouvelle condition. Très longue, tutorielle certes, mais bien fichue. Dès lors, vous allez découvrir que le jeu s’articule autour d’un hub. Une base dans laquelle vous allez gérer votre personnage sous toutes les coutures.
Au fil des missions, vous récupérez des objets cachés à collectionner et gagnez des trophées. Vous pourrez les admirer ici. Vous pourrez également modifier votre équipement. Les armes se débloquent au fil des niveaux… et à l’aide de « kits de fabrication ». Vous allez donc gérer votre arme primaire, secondaire, leurs options (visée laser, silencieux…). Vous pourrez même les personnaliser à l’aide de stickers, lettres alphabétiques et palette de couleur.
Idem pour les « pouvoirs ». Votre nouvelle condition cybernétique vous offre des bonus exceptionnels organisés selon trois branches : Control, Martial et Chaos. Le premier vous offre la possibilité d’agir sur les unités ennemies robotisées : les ralentir, les désorienter, en prendre le contrôle, voire les retourner contre leurs troupes, par exemple. Martial améliore vos conditions physiques : rapidité, puissance, frappe au sol dévastatrice… Quant au dernier, il agit sur vos adversaires humains : les sonner, les faire vomir, voire mon préféré, leur lâcher des nuées de nano-robots pour les anéantir. Diablement efficace. Et chaque « pouvoir » a deux niveaux de puissance.
Mine de rien, ces pouvoirs changent clairement la donne : une fois que vous les essayez, vous ne pourrez plus vous en passer.
Si nous vous recommandons de jouer les missions dans l’ordre, bien entendu, elles sont toutes accessibles dès le début. 11 missions.
Enfin, des améliorations cybernétiques sont débloquables également. Parmi elles… la possibilité de courir contre les murs, façon Titanfall, une résistance accrue ou… la possibilité de récupérer les armes de vos ennemis au sol, chose non accessible de base. On vous rassure, il y a suffisamment de caches de munitions ou d’armes disséminées dans les niveaux pour ne pas avoir forcément, à un niveau de difficulté basique, besoin de cette amélioration. Bref. Les niveaux s’enchaînent. 11 au total. Avec à chaque fois un petit passage à la base.
Basique, le scénario de ce Call of Duty Black Ops 3 n’en est pas moins complètement barré. Avec des plongées dans l’inconscient des personnages qui amènent des niveaux étranges et totalement hallucinants. Vous allez ainsi passer de l’Egypte à la Suisse… à un village Français durant la Seconde Guerre Mondiale, des forêts enneigées, des bases ennemies…
Quoi qu’il en soit, cette campagne se déroule à un rythme faramineux. Ça pète de partout. Des chiées d’ennemis vous tombent sur le râble, humains ou robots. C’est bien simple, vous n’aurez pas de répit. Ou seulement durant les nombreuses cinématiques du jeu.
Les niveaux sont dotés d’un vrai bon level design, alternant les passages étroits et les larges places. Il y aura souvent plusieurs chemins possibles. Votre personnage n’hésitant pas à lancer un « je passe à gauche » à ses coéquipiers si vous partez effectivement à gauche… c’est autant pour l’immersion.
Bref. La campagne est une bonne grosse claque. Avec quelques vrais passages d’anthologie. La place en ville, pétée de robots et snipers ennemis, dans une des dernières missions, est digne des meilleurs moments de la série toute entière. Une petite précision : les adversaires déferleront par vagues incessantes et infinies. Il vous faudra traverser les lignes ennemies pour progresser. Impossible d’en venir totalement à bout. Mais quelle putain d’ambiance ! Entre les énormes robots difficiles à abattre, ceux qui vous tirent dessus à distance, ceux qui vous courent littéralement dessus pour vous choper au corps à corps… c’est énorme !
Peu importe finalement le scénario un brin tarabiscoté et prévisible (même si personnellement je n’ai pas vu le twist de fin arriver, mes confrères s’y attendaient, eux). Peu importe ce gros délire sur les corbeaux. Le jeu est une pure succession de claques dans la gueule, balancées à un rythme effréné.
Une excellente campagne, un excellent gameplay… un confrère, habitué à jouer sur PC à des FPS « plus sérieux », du type STALKER par exemple, était quand même sous le charme. C’est dire.
Graphiquement, le jeu alterne le bon et le moins bon. Si certains niveaux sont bluffants, comme celui de Singapour sous la tempête, qui vous abreuve de détails et d’effets, à vous en scotcher sur votre siège, d’autres sont moins réussis. On pensera à cette scène dans un bar, aux textures plastiques et saturées de mauvais goût ou aux ombres parfois très aliasées. Les peaux et animations faciales manquent aussi de réalisme, en général. Mais bon. Sans être visuellement le plus beau jeu du monde, ce Call of Duty se défend bien et on est loin de cette époque où l’on pouvait lui reprocher un moteur vieillissant et pas au niveau. Là, ça envoie bien.
C’est même soutenu par une excellente bande-son. Un vrai plus qui permet une meilleure immersion.
Mais les meilleures nouvelles sont à venir : Cette campagne est jouable à 4 en coop. A 2, même, sur le même écran. C’est du « drop in/drop out ». Ils viennent et s’en vont de votre partie quand ils veulent, sans incidence. Et ça change tout. C’est une autre ambiance, un autre challenge, un autre fun, mais tout aussi jouissif. A noter que si vous hébergez vos potes dans la partie, c’est votre histoire qui progresse, mais ils débarquent avec leurs personnages, dotés de leur expérience. Et ils en gagneront encore durant votre partie. Du coup, si vous terminez le scénario d’une traite, au niveau 12-13, vous avez encore une marge de manœuvre et pouvez encore progresser en rejoignant vos potes dans leur partie. Autre bonne nouvelle : rejouer les missions du début avec votre nouvel équipement et vos nouveaux pouvoirs change totalement la donne. C’est réellement à faire. C’est donc une excellente rejouabilité qu’offre le titre.
Et vous voulez encore des bonnes nouvelles ? Il nous a fallu entre 8 et 9 heures pour aller au bout la campagne. En mode « normal », dont la difficulté est quand même plutôt corsée à certains moments. Du coup, en mode « vétéran », comptez une dizaine voire une douzaine d’heures ! C’est bien plus long que les 6 heures habituelles !
Là, vous vous dites que les bonnes nouvelles sont suffisamment nombreuses. Mais il y en a encore. Et une de taille. Finir la campagne vous débloque le mode Nightmare. Il s’agit d’un mode qui vous raconte une histoire alternative. Vous vous retapez les mêmes niveaux, dans un ordre différent, mais avec une différence de taille : tous les ennemis humains sont remplacés… par des zombies. Avec quelques modifications dans la progression des niveaux (un passage où vous devez piloter un drone est remplacé par une progression à pieds, bien plus ardue). Et le challenge est de taille : les zombies sont très nombreux, bien plus que les humains de base. Et vous ne jouez pas votre personnage avec toutes ses améliorations : le système de jeu emprunte au mode zombie. A savoir des armes à ramasser sur le sol, quand les zombies en perdent, une magic box qui vous permet d’en choisir une nouvelle de manière aléatoire, et de rares capsules de pouvoir.
Bref. Ce sont encore une dizaine d’heures de jeu, bien fun et au ressenti réellement différent de la campagne de base, qui vous attendent. Là encore, le jeu est possible en coop jusqu’à 4.
Du coup, cette année, la durée de vie du solo/coop de Call of Duty Black Ops, c’est 20 heures. Ça vous en bouche un coin, hein ?
Mieux encore : dans votre base, un petit jeu d’arcade, type indépendant, vous attend : Dead Ops Arcade II. Un shoot en vue aérienne, à dézinguer du zombie. 40 niveaux, bien difficiles à souhait, jouables là encore à 4. Un excellent petit jeu d’arcade, soit dit en passant. Comptez en plus 3-4 heures de jeu, pour peu que vous arriviez au bout, ce qui est quasiment impossible. Le genre de petit jeu d’arcade sur lequel on revient toujours avec plaisir, en tout cas.
Bref, vous l’aurez compris, le contenu de ce Call of Duty Black Ops 3 est, cette année, gargantuesque. Ceux qui ont toujours reproché à la série son manque de contenu en seront pour leurs frais et devront trouver d’autres arguments.
Ah oui ! J’oubliais encore un mode ! Le mode Freerun est une sorte de parkour chronométré dans lequel vous alternez les sauts et glissades sous et au-dessus des obstacles, mais aussi enchaînez des courses et sauts sur des parois verticales, allant de l’une à l’autre avec parfois bien peu de marge d’erreur. Il y a quatre courses, de plus en plus ardues. Chaque erreur est comptabilisée et rajoute quelques secondes à votre temps final. Sans être non plus essentiel et indispensable, ce mode est peut-être à jouer en premier avant même le solo, pour vous familiariser avec les contrôles. En tout cas, les amateurs de records tenteront de faires les niveaux encore et encore pour améliorer leur temps. Nul doute que les DLC ajouteront quelques courses supplémentaires.
Parce que Black Ops 3 propose du coup, en plus, les mêmes modes que d’habitude. A savoir le mode zombie. En solo ou coop jusqu’à 4, à survivre à des vagues de zombies de plus en plus puissantes. Ambiance années 50, ruelles sombres et étroites, quelques petites places, et des passages à débloquer pour accéder à de nouveaux niveaux… C’est toujours aussi efficace, dans la lignée de ce que l’on connait déjà , avec quelques variantes (un joueur peut se transformer en bête tentaculaire et bigrement dévastatrice). On galère toujours, on peste contre le blaireau qui s’est barré à l’autre bout de la carte pour faire cavalier seul, et on réessaye encore et encore.
De la même manière, le multijoueur est fidèle à lui-même. 11 modes. Les classiques Team Deathmatch, Free for all, Domination (3 zones à capturer), Demolition (Faire sauter deux bombes), Kill Confirmed (tuer un adversaire lui fait perdre des plaques d’identification et on doit valider la mort en les récupérant sur son cadavre), Hardpoint (zones à capturer qui changent souvent), Capture the Flag, Search & Destroy (même mode que Demolition, mais les morts y sont définitives), Gun Game (plus on tue d’adversaires, plus on récupère une arme puissante) ou encore Uplink (Lancer la balle dans le but). Un nouveau fait son apparition : Safeguard (escorter un robot jusque dans la zone ennemie).
Le tout sur 12 cartes, toutes inédites : Aquarium ( un aquarium et jardin botanique), Breach (au Caire, bâtiments en zone de combat), Combine (Centre de recherche dans le désert égyptien), Exodus (zone quarantaine, avec petites places entourés de bâtiments), Fringe (grosse ferme abandonnée), Havoc (zone de combat et base d’opération dans les montagnes enneigées du désert Nord-Africain), Evac (zones d’évacuation à base de blocs de bâtiments), Hunted (petite maison en bois à l’ambiance asiatique près d’une chute d’eau dans les montagnes d’Ethiopie), Infection (inspiration de la Seconde Guerre Mondiale, genre petit village Français avec sa place de l’église), Metro (station de métro au cœur de Zurich), Redwood (fortification dans la forêt, dans le Nord de la Californie), Stronghold (place forte dans un château, dans les Alpes, sous la neige).
Elles se jouent à 18 joueurs max. Et sont comme d’habitude bien pensées, avec des tas de chemins de traverses, très rythmées. Bref, c’est du très classique, certes, mais bigrement efficace.
Comme d’habitude, on débloque des armes au fil des niveaux passés… et des points de débloquage gagnés.
Vous pouvez choisir votre type de personnage, selon son style, son type d’armes et ses capacités spéciales. Si le premier est « offert », les autres seront à récupérer en utilisant ces fameux points de débloquage.
Equipements, kill streak, et j’en passe et j’en oublie. C’est du multi à la Call of comme on le connait, donc. Avec en bonus un marché noir. Dans le multi, on gagne des cryptokeys. On peut ensuit acheter de l’équipement au marché noir, via des caisses qui vous offrent des armes et tenues de manière aléatoire.
Petites précisions : le test s’est effectué sur une version « quasi mais pas tout à fait » finale. Nous avons rencontré quelques bugs, notamment un pathfinding (le chemin que suit les personnages gérés par l’IA) défaillant à certains moments, obligeant à relancer une mission. Ou un plantage du jeu après une partie multi. Les développeurs nous ont affirmé qu’ils étaient déjà au courant de ces deux problèmes et qu’ils seraient corrigés, notamment dans un patch « day one », disponible donc dès la sortie du jeu.
Au final, on pourra reprocher à Call of Duty Black Ops 3 son scénario halluciné mais assez bateau (l’IA est-elle la plus grande menace de l’humanité ?). On pourra lui reprocher son multi sans surprise et extrêmement classique, sans réelle innovation au niveau modes de jeu. Mais c’est bien tout. Parce que ce Black Ops 3 est une vraie bonne surprise. Un contenue pléthorique par rapport à d’habitude. D’excellentes idées. Des ajouts de gameplay (les « pouvoirs ») jouissifs. Une rejouabilité importante. Une campagne zombie top. Bref, c’est une vraie tuerie. Dans tous les sens du terme.
Et je m’en fous. Vous pourrez vous dire que j’ai pété un plomb. Ça vous regarde. J’ai envie de noter ce Call of Duty pour ce qu’il est : l’épisode ultime dans toute sa splendeur. Certes, si vous n’aimez pas la série, vous n’aimerez pas celui-ci non plus. La saga est un jeu pop-corn qui claque comme une superproduction hollywoodienne. On sait à quoi s’attendre. Et dans le genre, cette année, ils sont allés au-delà de nos espérances, au-delà de nos attentes. Des heures et des heures de jeu à faire en solo et à refaire en coop pour le fun. Et ça, ça mérite bien un petit craquage de note, juste pour dire que « j’ai pris mon pied, j’ai eu du plaisir, j’ai fait l’amour avec Call of Duty, j’ai eu un orgasme ». Dans les clichés ciné, on fume toujours après l’amour. Là, c’est la manette qui est en feu.
Quel panard !
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Call of Duty Black Ops 3 (PC, Xbox One, PS4)
Plateformes : PC - Xbox One - PS4
Editeur : Activision
Développeur : Treyarch
PEGI : 18+
Prix : 55 €
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