Tom Clancy's The Division 2, nos premières impressions

 

Publié le Mardi 5 février 2019 à 12:00:00 par Cedric Gasperini

 

Tom Clancy's The Division 2, nos premières impressions

Du tout bon

imageAprès un premier épisode à succès, mais non sans défaut, Ubisoft a à cœur d’installer définitivement sa licence Tom Clancy’s The Division sur le devant de la scène. Le deuxième épisode sort le 15 mars et vous pourrez tester le jeu dès jeudi, pour quelques jours de bêta privée.

Nous avons pu mettre les mains sur le contenu de cette bêta, et faire nos premiers pas dans un Washington ravagé. En effet, exit New York. Nous voilà désormais dans la capitale des Etats-Unis. Ou du moins ce qu’il en reste.

Pas de dépaysement : comme la grosse pomme, Washington est une ville abandonnée, ravagée par la maladie, où les quelques survivants passent leur temps à se flinguer allègrement pour récupérer les quelques ressources que peut offrir la ville.

Vous incarnez toujours un agent. Et le jeu peut toujours être joué seul… ou en coop à plusieurs, le nombre d’ennemis et la difficulté s’adaptant à votre groupe et au niveau des joueurs.
Le système est d’ailleurs toujours le même : des points centraux, sortent de bases où vous pouvez améliorer votre agent, récupérer du matériel… et des « safe houses » un peu partout sur la carte, où vous pourrez souffler entre deux missions et refaire le plein de munitions, voire revendre les armes et équipements récupérés sur le terrain, pour en acheter d’autres, plus performants que ceux que vous avez. On peut débloquer aussi divers bonus : des drones, des mitrailleuses fixes, des mines, et j’en passe. Ces « perks » sont parfois salutaires dans des situations qui semblent désespérées. Et il y en aura, croyez-moi.


screenFusils à pompe, fusils de sniper, fusils mitrailleurs de toutes sortes, flingues… les armes sont variées et vous passerez de l’une à l’autre, au fur et à mesure que vous en récupérerez sur le corps de vos ennemis. Tout comme vos protections (gilets, futals, gants, genouillères…). Généralement, après chaque gros gunfight, vous regardez vite fait pour changer votre équipement pour un meilleur, et pour une arme qui vous correspond mieux.
A ce propos, les menus sont toujours un poil bordéliques. Et on s’y perdra parfois, à rechercher le bon sous-menu. C’est dommage.

Les missions, si elles proposent des objectifs variés (récupérer tel objet, tuer tout le monde, sauver des otages…), vous entraînent toujours dans des gunfights intenses. Que ce soit en extérieur, à se planquer derrière des carcasses de voitures ou des plots en béton, ou en intérieur, à se protéger derrière un mur ou un simple bac de fleurs, dans des immeubles, dans des hangars, dans des petits pièces, dans des halls gigantesques… le résultat est toujours le même : on balance des dizaines de bastos un peu partout pour faire le ménage.

Et c’est fun.

screenLes ennemis sont parfois coriaces, certaines zones sont vraiment, mais vraiment chaudes, et même si les développeurs ont un peu abusé du même système de « on nettoie la zone, on progresse dans la salle et oh, mince, des ennemis nous prennent à revers », le jeu se montre toujours efficace et rythmé. Les combats sont soutenus et réussir certaines missions nécessitera une bonne entente et une bonne communication entre les joueurs.

Si on garde quelques doutes sur l’intérêt en solo à long terme, même s’il est possible d’y jouer seul, The Division 2 dévoile tout son potentiel en coop.

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Nous avons fait plusieurs missions (deux principales et trois ou quatre annexes), toutes avec une intensité élevée, un challenge épicé et un plaisir contant.

screenAprès une pause, nous avons été jetés dans le contenu « Endgame », déjà prévu par Ubisoft. De très nombreuses missions supplémentaires, qui font suite à la fin de la campagne, pour ne pas laisser les joueurs sur leur faim. Des missions à faire en coop, à 4, avec des rôles différents : sniper, medic ou tank.
Nous en avons fait 2. En deux heures. Autant dire qu’elles sont longues, voire très longues, et plutôt compliquées pour certaines. Mais voilà de quoi rassurer les joueurs, donc : une fois le jeu fini, il y en aura encore à se mettre sous la dent. Et Ubisoft a prévu d’en rajouter régulièrement. C’était l’une des critiques faites au premier jeu, les développeurs semblent avoir bien écouté les joueurs, pour le coup.

Et nous n’avons pas pénétré dans la Dark Zone, le côté PvP du jeu, qui réserve lui aussi son lot de surprises.

Au final, donc, si The Division premier du nom nous avait laissé sur notre faim, cette suite s’annonce comme l’un des jeux phares de ce début d’année. Du tout bon.

 

 
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