Cyberpunk 2077, on en a pris plein la gueule !

 

Publié le Mercredi 21 août 2019 à 09:30:00 par Cedric Gasperini

 

Cyberpunk 2077, on en a pris plein la gueule !

En bien ou en mauvais ?

Jeu phare de la Gamescom, sans doute l’un des jeux, si ce n’est le jeu le plus attendu de 2020, surtout pour un type comme moi qui a passé des nuits entières à jouer au jeu de rôle papier, Cyberpunk 2077 se montrait au détour d’une longue démo menée d’une main de maître par les développeurs de CD Projekt.

Au menu, customisation poussée de son personnage, à choisir entre un homme et une femme et en changeant de nombreux paramètres (cheveux, nez, oreilles, coiffures, bouche, et j’en passe…). Tenues multiples, accessoires… bref, vous pourrez créer votre cyber-héros tel que vous l’imaginez.
Un héros défini par différentes caractéristiques (Corps, intelligence, tech…) qui vous permettront d’être performant dans certains domaines (combat à distance, au corps à corps, hacking…) et ces domaines vous permettront de résoudre des énigmes ou progresser de manière différente. Par exemple, soit vous choisirez l’infiltration d’un groupe d’ennemis en passant par des passages sécurisés de manière informatique et donc moins protégés, ou y aller en frontal…

Des implants permettront de booster vos capacités, et vous gagnerez en xp pour améliorer votre héros.

De nombreux choix de dialogues seront proposés, chacun ayant une incidence sur le comportement de vos interlocuteurs.

A part ça, la démo montrait notre héros s’allier à un gang de type créole (avec des dialogues en créole automatiquement traduits via sous-titres grâce à votre implant cybernétique) pour aller dénicher des informations chez un autre gang, prénommé les « Animals ».

Vous traversez des rues sales, bourrées de détails, de détritus, de gens qui vaquent à leurs occupations, de bâtiments délabrés, de murs avec des graffitis, de fumée… c’est visuellement impressionnant. La démo se faisait sur PC, via une carte Nvidia utilisant le RTX (Ray Tracing). Et ça envoyant du pâté. Vraiment. Mais ne vous attendez pas à une telle qualité sur console…

Un petit passage à conduire une moto (là aussi très classe et sublime) et on est au cœur de l’action, à se battre, à tirer, à frapper, à utiliser un flingue, un fusil mitrailleur ou… un fil laser qui découpe les membres comme du beurre, une mitrailleuse lourde, à hacker même les ennemis pour qu’ils se retournent contre leurs potes ou… se suicident… et enfin, un gros boss de fin de niveau bien difficile…

Nous aurons vu une quarantaine de minutes de jeu. Résultat : c’est sublime. Sur PC, en tout cas. Autant dire qu’on va se débrouiller pour le tester via le Ray Tracing (vraiment impressionnant). Le jeu a l’air énorme. D’innombrables possibilités, une rejouabilité de folie, des options à foison… le jeu a l’air d’une richesse exceptionnelle, passionnant et nous sommes donc ressortis de la présentation des implants plein les yeux.

Putain, vivement 2077. Ou 2020, en tout cas, pour y jouer.

 

 
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