Publié le Jeudi 6 août 2009 à 19:14:13 par Cedric Gasperini

 

Un petit coucou ensoleillé du boss...

Sea, sex, sun, sex, sea, sex, sex, sex, sun, sex, sex, sea, sex, beignet

Chers tous,

Je vais bien. Merci de le demander.
Je profite bien de mes vacances. Ces vacances tant attendues. Et que mon organisme tout entier réclamait. Je voyais bien que dernièrement, je baissais. Même plus capable de tenir la bouteille de champagne entière dans les soirées presse. Même plus capable de tenir la brochette d'hôtesses, après la bouteille toute entière, dans les mêmes soirées presse. Même plus capable de tenir l'attaché de presse (oui, masculin, féminin, qu'importe une fois le taux d'alcoolémie qui explose des records) après la la brochette d'hôtesses, après la bouteille toute entière, dans les mêmes soirées presse.

Bref. Je recharge peu à peu les batteries de la bête, bien décidé à tout exploser à Cologne, pour la GamesCom, lors de mon retour.
D'ailleurs, je prends quelques minutes quotidiennes pour non seulement prendre des nouvelles du site, mais pour également finaliser les rendez-vous à cette GamesCom qui s'annonce d'ores et déjà passionnante. Et il suffit de regarder mon carnet de rendez-vous, justement, pour s'en convaincre. Nous vous en reparlerons en temps et en heure.

Je prends, donc, comme je vous le disais, quelques minutes quotidiennes pour voir comment se porte GamAlive. Je devrais même dire que je ne prends « que » quelques minutes quotidiennes. Et n'ai qu'un oeil lointain. Parce que Vincent et Geoffroy font un super boulot. Vraiment. J'avais peur de devoir mettre parfois la main à la pâte pour tenir le site « Alive », justement, mais je n'ai pas même à le faire. Ils assurent comme des bêtes et, du coup, je peux encore mieux profiter des mes congés. Qu'ils en soient mille fois remerciés. Vraiment.

Pour ma part, mes journées se résument à courir après ma gamine, l'aînée, toute la journée, pour éviter de ne la retrouver au large de l'Algérie parce qu'une brusque bourrasque aura emporté sa bouée au loin. Ou encore, à éviter à la plus jeune, qui fête dès demain ses 9 mois, d'avaler la moitié du sable de la plage. De temps en temps, parce que chacun a besoin d'un petit moment à soi, je les attache au parasol à grands renforts de chatterton, le temps d'une sieste bien méritée.
Le soleil est chaud. La mer est bonne. Il y a beaucoup de monde sur la plage, mais l'avantage de venir sur le bord de mer une hache à la main fait que, rapidement, les gens vous laissent toute la place que vous voulez. Pourquoi une hache, me demanderez-vous ? Je viens de vous le dire : il y a beaucoup de monde. Et si un parasol gêne, hop, un coup de hache et ce n'est plus un souci. Un matelas prend trop de place ? Hop, la hache. Un gamin vous envoie du sable ? Hop, coup de... ha ha ha, non, je plaisante. Pas la hache quand même. Ha ha ha. J'ai un couteau, c'est plus propre avec les mômes.

Bref, tout va bien. Même les mâtinées sont grasses.
Et finalement, il y a un peu plus de monokini que l'année passée. C'est aussi un peu ça, le bonheur.