Publié le Dimanche 22 octobre 2017 à 11:00:00 par Cedric Gasperini

 

Musique : Les sorties de la semaine

Vous êtes consternants

Je vous rappelle encore une fois que l'une des chansons les plus catastrophiques pour la langue française, une mélange de terrorisme grammatical et d'attentat syntaxique, à savoir "Réseaux" de Niska, est depuis 11 semaine numéro un des ventes, et qu'il bat record sur record. Son album, "Commando" est d'ailleurs toujours numéro un des ventes. 

Bref, vous écoutez de la merde. De la grosse grosse merde. D'ailleurs, vous êtes des merdes.

Mais je vous rassure, tout n'est pas perdu. On est là pour sauver votre âme musicale. Y'a du boulot, mais on ne baisse pas les bras.

Et on débute avec l'excellent groupe français KCPK, qui sort "The End". Le thème de l'adolescende comparé à un chaos. La musique est bonne, le clip est excellent. Que demander de plus ? C'est notre coup de coeur de la semaine. Et je veux le même Rubik's Cube.


Dans un autre genre, Dtlef sort un troisième single intitulé "Pull Up". Inspiré des "vibes" californiennes, il y a dans ses sonorités un appel à se relaxer et à voyager.


Son album Tangerine Moon Wishes est disponible. Sandra Nkaké a une voix magnifique, avec ce petite voile qui rajoute une certaine douceur. Sa chanson "Mon coeur" est une caresse.


Encore de la musique française : Pendentif revient avec un nouvel album début 2018. En attendant, leur nouveau single, "Vas-y fais le vite" donne au contraire l'envie de prendre son temps pour découvrir le groupe.


On parle jazz, maintenant, avec le nouvel album de Kyle Eastwood, "In transit", qui vien tout juste de sortir. On vous fait découvrir un superbe morceau, "Soulful Times".


Jeune duo électro, Bormin est un groupe français, dont le deuxième morceau, "Back & Forth", vient de sortir. Et preuve est faite qu'ils n'ont rien à envier aux plus grands. Très bon. Tout simplement.


Et pour fini, Orelsan vient de sortir un nouvel album et... non, j'déconne. On vous accuse d'écouter de la merde, ce n'est pas pour vous en remettre une couche. Mieux vaut s'arrêter là.